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  • MELIE EST MON PSEUDO SUR LE FORUM   CHEZ ADELETTE

    MELIE EST MON PSEUDO SUR LE FORUM   CHEZ ADELETTE

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    MELIE EST MON PSEUDO SUR LE FORUM   CHEZ ADELETTE

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  • Les origines du muguet du 1er Mai.

    Le muguet est originaire d'Asie, du Japon plus précisément.

    Cette plante est connue et acclimatée

    en France depuis le Moyen- Âge.

    Le muguet a longtemps été le symbole du renouveau et du printemps,

    il était donc logique qu'il devienne symbole

    du bonheur et porte-bonheur.

    Le 1er Mai 1561 Charles IX instaura la tradition d'offrir

    du muguet le 1er mai en guise de porte-bonheur.
    Ce n'est que vers 1907, puis en 1936 que

    le muguet est associé à la fête du travail.


    La date du 1er Mai comme jour de la fête du travail

    et des travailleurs fut adoptée en 1889, au congrès de la fondation

    de la IIe Internationale à Paris.

    DU MUGUET ET DU BONHEUR

    Cette date fut choisie en mémoire des morts

    de la manifestation du 1er Mai 1886 à Chicago qui demandait

     l'instauration de la journée de 8 heures.


    A Paris lors d'une manifestation en 1890,

    les manifestants défilèrent en portant à la boutonnière

    un triangle rouge symbolisant leurs revendications,

    à savoir la division idéale de la journée en 3 huit :

    travail ,sommeil, loisirs.

    Ce triangle fut remplacé par la fleur d'églantine

    puis par le muguet cravaté de rouge.

    C'est depuis ce jour que fête du travail

    et muguet furent associés.


    Ce n'est qu'en 1936 que l'on retrouve les premières

    ventes de muguet à l'occasion du premier mai.

    La chanson "il est revenu le temps du muguet "

    est elle aussi associée à ce jour.


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  • JOLI MOIS DE MAI DECONFINES SI POSSIBLE

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  • Ma meilleure amie

     
    Savez-vous ce qu'est une meilleure amie ?
    Une personne à qui on peut tout confier,
    La personne qu'on préfère parmi nos amies,
    La personne avec qui on se promet à jamais de rester liée.

    Mais quelquefois, ce lien se rompt,
    Pour une bêtise, un oui ou un non.
    Ce jour là, l'une et l'autre ne se comprennent plus,
    C'est de là qu'on ne s'entend plus.

    Les disputes commencent,
    Les reproches suivent,
    Les coups de téléphone s'arrêtent,
    Les amies ne s'aiment plus.
    Mais qu'a-t-il bien pu arriver ?
    Pour que deux amies soient ainsi séparées ?

    Pourtant elles s'aiment,
    Au plus profond d'elles-mêmes ;
    L'une reproche à l'autre,
    Ce que l'autre ne comprend pas.
    Et toutes les deux vivent dans le remords
    Parce que chacune cherche où elle a eu tort.

    Chacune d'elle s'est refait des amies
    Mais il manque toujours quelque chose
    De l'amie, son visage, son sourire aussi ;
    Sans sa présence, c'est autre chose.
    Beaucoup de personnes rêvent
    D'avoir un jour une meilleure amie
    Sur qui compter, sur qui s'appuyer.
    Pourquoi celles qui en ont se séparent-elles ?
    Rien ne remplace l'amitié d'une meilleure amie
    On n'a pas vécu si on n'a pas aimé
    Autant en amour qu'en amitié 

     
    Anaïs Dingli.

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  • Les oiseaux

     
    Montez, montez, oiseaux, à la fange rebelles,
    Du poids fatal les seuls vainqueurs !
    A vous le jour sans ombre et l’air, à vous les ailes
    Qui font planer les yeux aussi haut que les coeurs !

    Des plus parfaits vivants qu’ait formés la nature,
    Lequel plus aisément plane sur les forêts,
    Voit mieux se dérouler leurs vagues de verdure,
    Suit mieux des quatre vents la céleste aventure,
    Et regarde sans peur le soleil d’aussi près ?
    Lequel sur la falaise a risqué sa demeure

    Si haut qu’il vît sous lui les bâtiments bercés ?
    Lequel peut fuir la nuit en accompagnant l’heure,
    Si prompt qu’à l’occident les roseaux qu’il effleure,
    Qnand il touche au levant, ne sont pas redressés ?
    Fuyez, fuyez, oiseaux, à la fange rebelles,
    Du poids fatal les seuls vainqueurs !

    A vous le jour, à vous l’espace ! à vous les ailes
    Qui promènent les yeux aussi loin que les coeurs !
    Vous donnez en jouant des frissons aux charmilles ;
    Vos chantres sont des bois le délice et l’honneur ;

    Vous êtes, au printemps, bénis dans les familles :
    Vous y prenez le pain sur les lèvres des filles ;
    Car vous venez du ciel et vous portez bonheur.
    Les pâles exilés, quand vos bandes lointaines
    Se perdent dans l’azur comme les jours heureux,
    Sentent moins l’aiguillon de leurs superbes haines ;

    Et les durs criminels chargés de justes chaînes
    Peuvent encore aimer, quand vous chantez pour eux.
    Chantez, chantez, oiseaux, à la fange rebelles,
    Du poids fatal les seuls vainqueurs !
    A vous la liberté, le ciel ! à vous les ailes
    Qui font vibrer les voix aussi haut que les coeurs !

     
    René-François Sully Prudhomme,

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  • Pluie d’avril

    C’est une averse d’avril
    Crépitant sur la feuillée,
    Où la fraicheur réveillée,
    Avec un parfum subtil,
    Monte de l’herbe mouillée ;

    La ramure des lilas,
    Inquiète, échevelée,
    Penche et tremble sur l’allée
    Et semble pleurer tout bas
    Une peine inconsolée ;

    Les chants d’oiseaux se sont tus
    Et seuls le vent et la pluie,
    Sous le ciel couleur de suie,
    Bercent de sanglots confus
    La nature qui s’ennuie ;

    Et nos cœurs se sentent pris
    De cette langueur perverse,
    Quand, se jouant de l’averse
    Entre deux nuages gris
    Un rayon de soleil perce ;

    Le printemps comme un enfant
    N’a pas de chagrin qui dure ;
    Il sourit dans la verdure,
    Essuyant d’un coup de vent
    Ses larmes sur sa figure ;

    Viens t’en flâner à pas lents
    Par le jardin qui s’égoutte ;
    Le soleil crevant la voûte
    Met des reflets aveuglants
    Dans les flaques de la route ;

    Les fleurs relèvent le front ;
    Au ciel qui se rassérène
    Un vol de pigeons s’égrène.
    Et s’exhalant du gazon,
    Une molle vapeur traîne ;

    Ainsi nos larmes d’un jour
    Et sur nos douleurs d’une année
    Se dissolvent en fumée :
    Du premier chagrin d’amour.
    Souviens-toi ma bien aimée…

    Jean de Nerville

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  • Le sourire

     

    Un sourire ne coute rien et produit beaucoup.

    Il enrichit ceux qui le reçoivent

    sans appauvrir ceux qui le donnent.

     

    Il ne dure qu'un instant

    mais son souvenir est parfois éternel.

     

    Personne n'est assez riche pour s'en passer,

    personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter.

     

    Il crée le bonheur du foyer.

    Il est le signe sensible de l'amitié.

     

    Un sourire donne du repos à l'être fatigué,

    rend du courage aux plus découragés.

     

    Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler

    car c'est une chose qui n'a de valeur

    qu'à partir du moment ou il se donne.

     

    Et si quelquefois vous rencontrez une personne

    qui ne sais plus avoir le sourire...

    Soyez généreux, donnez lui le vôtre

    car nul n'a autant besoin d'un sourire,

    que celui qui ne peux plus en donner aux autres....

     

    Gandhi


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