• AVEC LE SOURIRE

    avec le sourire....

    Un homme âgé se retrouve sur la table d'opération attendant d'être opéré.
    Il insiste pour que ce soit son gendre, l'éminent chirurgien, qui procède à cette chirurgie.
    Avant d'être endormi, il demande à parler à son gendre et lui dit:

    Ne sois pas nerveux , fais de ton mieux.

    Et si ça tourne mal et que quelque chose devait m'arriver,

    souviens-toi que ta belle-mère va aller.........habiter chez toi


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  • Chaque semaine qui débute a sa p'tite histoire et ses personnages marquants.

    Que se soit sur la scène politique nationale, mondiale,

    ou tout simplement plus près de nous,

    au coeur de notre vie personnelle.

     Puissiez-vous chaque jour, être le personnage principal,

    le scénariste et le producteur de votre histoire


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  • LIBERATION

    La vie profonde échappe à la réflexion du miroir ;

    elle ne peut se connaître que dans un autre et pour lui.

    Quand vous vous oubliez parce que vous êtes devant un paysage qui vous ravit,

    ou devant une oeuvre d'art qui vous coupe le souffle,

    ou devant une pensée qui vous illumine,

     ou devant un sourire d'enfant qui vous émeut,

     vous sentez bien que vous existez,

    et c'est même à ces moments-là que votre existence prend tout son relief, mais vous le sentez d'autant plus fort que justement l'événement vous détourne de vous-même.

    C'est parce que vous ne vous regardez pas que vous vous voyez réellement et spirituellement, en regardant l'autre et en vous perdant en lui.

     C'est cela le miracle de la connaissance authentique.

     Dans le mouvement de libération où nous sortons de nous-mêmes, où nous sommes suspendus à un autre, nous éprouvons toute la valeur et toute la puissance de notre existence...

    Dans ce regard vers l'autre, nous naissons à nous-mêmes.

    Il faut cueillir les cerises avec la queue.

     J'avais déjà du mal avec la main !

     


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  • ON S'Y RECONNAIT

    Lui et moi,
    n'est-ce pas étrange ?


    Quand lui n'achève pas son travail,
    je me dis qu'il est paresseux.
    Quand moi je n'achève pas mon travail,
    C'est que je suis trop occupé, surchargé.

    Quand lui parle sur quelqu'un,
    c'est de la médisance.
    Quand moi je le fais,
    c'est de la critique constructive.

    Quand lui tient à sont point de vue,
    c'est un entêté.
    Quand moi je tiens a mon point de vue,
    j'ai de la fermeté.

    Quand lui ne me parle pas,
    c'est un affront.
    Quand moi je ne lui parle pas,
    c'est un simple oubli.

    Quand lui prend beaucoup de temps a faire quelque chose,
    il est lent.
    Quand moi je prends beaucoup de temps a faire quelque chose,
    je suis soigneux.

    Quand lui est aimable,
    il doit avoir une idée derrière la tête.
    Quand moi je suis aimable,
    je suis vertueux.

    Quand lui voit deux aspects de la question,
    il est opportuniste.
    Quand moi je vois les deux aspects de la question,
    je suis large d'esprit.

    Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
    il est négligé.
    Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
    je suis habile.

    Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
    il ne se mêle pas de ses affaires.
    Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
    j'ai de l'initiative.

    Quand lui déffend ses droits,
    c'est un mauvais esprit.
    Quand moi je déffends mes droits,
    je montre du caractére.

    Oui, c'est bien étrange...


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  • DONNER POUR MIEUX RECEVOIR ?

    Donner fait autant partie de la nature humaine que bouger, de la nature animale. Nous avons souvent l'impression que donner concerne uniquement les biens matériels. C'est pourquoi nous croyons que nous pouvons tout racheter, y compris nos maladresses ou notre incapacité à aimer, en donnant des choses ou de l'argent.

    Donner s'étend bien au-delà du monde matériel. C'est un verbe qui s'applique à tous les aspects de la nature humaine : donner de son temps, donner son approbation, donner son attention, donner la priorité, donner un conseil, donner une chance, donner de l'affection, donner raison, donner une explication.

    Voilà autant de manières d'exprimer notre véritable nature, qui tend toujours vers l'union. Ne craignons pas d'aller vers nos semblables et de donner le meilleur de nous-mêmes, c'est ce qui rend heureux.

    Je m'émerveille devant la multitude de manières mises à ma disposition pour m'unir aux autres.

    Source : Un jour à la fois, tome IV

    « Qui attend le superflu pour donner aux autres ne leur donnera jamais rien. »
    Proverbe chinois


    Maîtresse : Arthur, ta rédaction « mon chien » est exactement la même que celle de ton frère. Tu as copié ?
    Arthur : Non maitresse, le chien c’est le même.

    ( ???????)


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  • BOUDER

    On vous a heurté, on vous a blessé ou du moins, vous avez cru l’être. Et votre amour-propre est à vif. Aussitôt vos traits se contractent, vous vous repliez sur vous-même et la muraille d’hostilité se ferme autour de vous.

    Pour peu que vous soyez enclin à ce défaut, vous n’avez manqué de remarquer que la bouderie est une arme dangereuse dont un tranchant est tourné contre votre entourage et l’autre tranchant tourné contre vous. En boudant, vous vous retirez du milieu social ou familial, vous vous mettez délibérément en quarantaine.

    Pour punir les autres d’un méfait souvent illusoire, vous vous punissez d’abord le premier. Dès que vous avez constaté un froissement et que vous sentez venir la vague de bouderie, ne cédez pas à ce sentiment, car il se fortifie à mesure qu’il est installé.

    Faites taire d’office votre amour-propre irrité. Ne le laissez pas proférer une seule syllabe. En imposant d’emblée silence à l’amour-propre, vous coupez les ailes à la bouderie avant qu’elle ait pris essor. Mais si la bouderie est plus forte que vous et vous isole du monde, gardez-vous de l’alimenter par des pensées de dépit.

    Prenez aussitôt un livre. Ou plongez-vous sans délai dans quelque travail mental. À peine votre esprit se sera-t-il détourné de l’objet de sa prévention, que molliront les fibres de la rancune. Et vous serez étonné du peu de consistance de vos griefs. Lorsque vous aurez fait cette constatation, n’hésitez pas. Allez aborder votre entourage et faites-lui la surprise d’un visage et ouvert. Les pires champs de glace fondront au contact de votre sourire.

    – Source : Georges Barbarin, Le livre de chevet, 1984

    « Bouderie : une grève de gamins. »


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  • MILLE RAISONS D'ESPERER

    Je sais que tu as mille et une raisons de désespérer,

    mais je voudrais te crier qu'il y a aussi mille et une autres raisons d'espérer !

     Ne laisse pas gagner ton coeur par les marées noires des mauvaises nouvelles, pour changer le monde, il faut d'abord changer ton regard.

     Regarde et cueille chaque jour, autour de toi, au creux du quotidien,
    Ces mille et une fleurs d'espérance :

    Celles qui poussent au milieu des plus sinistres tours de béton,
    Des plus monotones lieux de transport ou de travail,
    De la plus froide chambre d'hôpital,
    De la plus humble décision, personnelle ou collective, pour la justice.

     Regarde et vois tous ces hommes et toutes ces femmes
    Qui ne font pas « la une » des journaux, mais qui inventent, jour après jour,
    De nouvelles manières de vivre, de partager, d'espérer,
    Et qui manifestent que le Royaume de Dieu est à la portée de la main.

     Regarde et vois tous ces hommes et toutes ces femmes
    Qui, au lieu de crier que Dieu est aveugle, lui prête leurs yeux ;
    Qui, au lieu de crier que Dieu est manchot, lui prête leurs mains ;
    Qui, au lieu de crier que Dieu est muet, lui prête leurs voix.
    Regarde et entends,

    car le monde actuel a besoin de retrouver ce  "regard du coeur "
    Et de cueillir ces fleurs de l'espérance pour mieux respirer et pour mieux vivre.

    à propos de voix ne vous trompez pas dimanche !!


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  • SOIS LE MEILLEUR QUOI QUE TU FASSES

    De toutes parts, nous sommes appelés à travailler sans repos afin d'exceller dans notre carrière. Tout le monde n'est pas fait pour un travail spécialisé ; moins encore parviennent aux hauteurs du génie dans les arts et les sciences ; beaucoup sont appelés à être travailleurs dans les usines, les champs et les rues.

     
    Mais il n'y a pas de travail insignifiant. Tout travail qui aide l'humanité a de la dignité et de l'importance. Il doit donc être entrepris avec une perfection qui ne recule pas devant la peine. Celui qui est appelé à être balayeur de rues doit balayer comme Michel-Ange peignait ou comme Beethoven composait, ou comme Shakespeare écrivait. Il doit balayer les rues si parfaitement que les hôtes des cieux et de la terre s'arrêteront pour dire : "Ici vécut un grand balayeur de rues qui fit bien son travail."

    C'est ce que voulait dire Douglas Mallock quand il écrivait :
    "Si tu ne peux être pin au sommet du coteau,
    Sois broussaille dans la vallée.
    Mais sois la meilleure petite broussaille
    Au bord du ruisseau.
    Sois buisson, si tu ne peux être arbre.
    Si tu ne peux être route, sois sentier ;
    Si tu ne peux être soleil, sois étoile ;
    Ce n'est point par la taille que tu vaincras ;
    Sois le meilleur, quoi que tu sois."

    Examinez-vous sérieusement afin de découvrir ce pour quoi vous êtes faits, et alors donnez-vous avec passion à son exécution. Ce programme clair conduit à la réalisation de soi dans la longueur d'une vie d'homme.


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  •  

    BELLE LEGENDE

     

     

    Une légende raconte qu'au commencement du monde,
    quand Dieu décida de créer la femme,
    il trouva qu'il avait épuisé tous les matériaux solides dans l'homme
    et qu'il ne disposait plus de rien.

    Devant le dilemme et après une profonde méditation, voilà ce qu'il fit.

     
    Il prit la rondeur de la lune,
    les suaves courbes des vagues,
    la tendre adhérence du liseron,
    le tremblant mouvement des feuilles,
    la sveltesse du palmier,
    la teinte délicate des fleurs,
    l'amoureux regard du cerf,
    la joie du rayon du soleil et
    les gouttes des pleurs des nuages,
    l'inconstance du vent et la fidélité du chien,
    la timidité de la tourterelle et la vanité du paon,
    la suavité de la plume du cygne et
    la dureté du diamant,
    la douceur de la colombe et la cruauté du tigre,
    l'ardeur du feu et la froideur de la neige.

     Il mélangea ces ingrédients si divers, forma la femme et la donna à l'homme.

     Une semaine après l'homme vint et lui dit :
    Seigneur, la créature que tu m'as donnée me rend malheureux,
    elle requiert toute mon attention,
    ne me laisse jamais seul,
    bavarde intensément,
    pleure sans motif,
    s'amuse à me faire souffrir

     et je viens te la rendre car JE NE PEUX PLUS VIVRE AVEC ELLE.

      Bien, répondit Dieu et il prit la femme.

     

    Une semaine après, l'homme revint et lui dit :
    Seigneur, je me sens très seul depuis que je t'ai rendu la créature que tu as faite pour moi,
    elle chantait et jouait à mon côté,
    elle me regardait avec tendresse et son regard était une caresse,
    elle riait et son rire était musique,
    elle était belle à voir et douce au toucher.

     Rends-la-moi car JE NE PEUX PAS VIVRE SANS ELLE.


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  • SOUS LE CHARME et ETERNUEMENTS !

    Je suis restée sous le charme, d’un immense nuage d’une belle teinte rose, tellement irréelle que l’on aurait dit un sourire, un salut venant d’horizons inconnus.
    J’ai éprouvé comme une libération et, sans le vouloir, j’ai tendu mes deux mains vers cette apparition magique.


    N’est-ce pas que la vie est belle et vaut la peine d’être vécue, quand elle nous offre de telles couleurs et de telles formes ?


    Au milieu des ténèbres, je souris à la vie, comme si je connaissais la formule magique qui change le mal et la tristesse en clarté de bonheur


    Alors je cherche une raison à cette joie, je n’en trouve pas et ne puis m’empêcher de sourire de moi-même.


    Je crois que la vie elle-même est l’unique secret

     Éternuements

     Un homme et une femme sont assis l’un près de l’autre dans la section

    première classe d’un avion.

    La femme éternue, prend un papier-mouchoir, essuie son nez délicatement,

    et puis se met à trembler pendant 10 à 15 secondes.

    L’homme la remarqua, et retourna à sa lecture. Quelques minutes plus

    tard, la femme éternue à nouveau, prend un papier-mouchoir, essuie son

    nez, et puis se met à trembler plus fort encore.

    Présumant que la dame a probablement un rhume, l’homme était quand même

    intrigué par les tremblements.

    À nouveau, un peu plus tard, la femme éternue, prend un papier-mouchoir,

    essuie son nez, et se met à trembler de plus en plus fort.

    L’homme décide de satisfaire sa curiosité, se tourne vers la dame et lui dit :

    "C’est plus fort que moi mais je remarque que vous avez éternué 3 fois,

    avez essuyé votre nez, et avez tremblé fortement. Est-ce que ça va?"

    "Je m’excuse si je vous ai dérangé mais j’ai une rare condition médicale :

    à chaque fois que j’éternue j’ai un orgasme."

    L’homme, malgré que très embarrassé, lui dit : "Je n’ai jamais entendu

    parler de cette situation avant. Prenez-vous quelque chose pour cela?"

     Elle répondit : "Du poivre."

     

     

     

      

     

     

     


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